BIFFF 2008, clap 3!
Je préviens tout de suite, la longue nuit fantastique de ce samedi... je ne l'ai pas faite!
Honte à moi, je sais, mais je souhaite néanmoins garder quelques os frais pour la suite des festivités, nous ne sommes qu'au début, après tout!
The HideOut (Pupi Avati), pour commencer.
La scène se passe à Devenport (USA), un petit village où tout se sait. Fraîchement sortie de l'hôpital psychiatrique, une veuve s'installe dans un vieux manoir pour y installer son propre restaurant italien. Un manoir, me direz-vous? Dans le mille. Les bruits étranges y sont légions, et son histoire ne laisse présager rien de bon pour la nouvelle occupante. Un thriller italien (doublé en anglais) qui aurait pu pousser à fond les portes de l'angoisse et du suspense, à défaut de celles de l'ennui. Trop lent, trop sombre, trop téléphoné, trop old-school à mon goût (certains aimeront), la peur n'est pas au rendez-vous, malgré deux bons sursauts en fin de film. Je trouve qu'il n'a jamais vraiment démarré. Dommage.
Après un bon repas, pour lequel on zappe Funny Games et The Cottage, nous retournons dans la salle pour le début de la Night...
Ambiance déjantée pour le premier film (et mon dernier d'ailleurs) de la Fantastic Night, [REC] de Balaguero. Une petite (mais succulente) journaliste madrilène (Manuela Velasco) en passe de faire le reportage de sa vie avec... les pompiers de la ville à l'ours. Un grand moment de cinéma gore, avec du sang partout, des courses poursuites dans les escaliers, des corps qui tombent de très haut (et dont on voit parfaitement l'atterrissage, très réaliste ;-), et bien entendu, du stress, des gens qui se font mordre, d'autres qui réssuscitent alors qu'on leur a bien tiré dessus (je suis formel!), etc etc.
Le tout filmé caméra à l'épaule (décidément, Blairwitch a laissé des séquelles), avec en conclusion, le projecteur qui éclate... la scène finale n'en est que plus excitante encore!
100 points pour l'ambiance dans la salle, ce film a eu tout les mérites d'être applaudis... cette jeune et jolie journaliste, quant à elle, se trouvait à ma gauche, à seulement quelques sièges de là... avec ou sans maquillage, je ne peux nullement nier ses arguments ;-) . A voir donc.
Et ce soir un petit Doom's Day, youpie!
Honte à moi, je sais, mais je souhaite néanmoins garder quelques os frais pour la suite des festivités, nous ne sommes qu'au début, après tout!
The HideOut (Pupi Avati), pour commencer.
La scène se passe à Devenport (USA), un petit village où tout se sait. Fraîchement sortie de l'hôpital psychiatrique, une veuve s'installe dans un vieux manoir pour y installer son propre restaurant italien. Un manoir, me direz-vous? Dans le mille. Les bruits étranges y sont légions, et son histoire ne laisse présager rien de bon pour la nouvelle occupante. Un thriller italien (doublé en anglais) qui aurait pu pousser à fond les portes de l'angoisse et du suspense, à défaut de celles de l'ennui. Trop lent, trop sombre, trop téléphoné, trop old-school à mon goût (certains aimeront), la peur n'est pas au rendez-vous, malgré deux bons sursauts en fin de film. Je trouve qu'il n'a jamais vraiment démarré. Dommage.
Après un bon repas, pour lequel on zappe Funny Games et The Cottage, nous retournons dans la salle pour le début de la Night...
Ambiance déjantée pour le premier film (et mon dernier d'ailleurs) de la Fantastic Night, [REC] de Balaguero. Une petite (mais succulente) journaliste madrilène (Manuela Velasco) en passe de faire le reportage de sa vie avec... les pompiers de la ville à l'ours. Un grand moment de cinéma gore, avec du sang partout, des courses poursuites dans les escaliers, des corps qui tombent de très haut (et dont on voit parfaitement l'atterrissage, très réaliste ;-), et bien entendu, du stress, des gens qui se font mordre, d'autres qui réssuscitent alors qu'on leur a bien tiré dessus (je suis formel!), etc etc.
Le tout filmé caméra à l'épaule (décidément, Blairwitch a laissé des séquelles), avec en conclusion, le projecteur qui éclate... la scène finale n'en est que plus excitante encore!
100 points pour l'ambiance dans la salle, ce film a eu tout les mérites d'être applaudis... cette jeune et jolie journaliste, quant à elle, se trouvait à ma gauche, à seulement quelques sièges de là... avec ou sans maquillage, je ne peux nullement nier ses arguments ;-) . A voir donc.
Et ce soir un petit Doom's Day, youpie!
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